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Découvrez la Maca, Lepidium meyenii

Chez Orius, nous sommes profondément ancrés dans la biologie végétale : comprendre, étudier et cultiver les plantes tout en améliorant leurs profils phytochimiques. Nous travaillons avec des espèces extraordinaires, qui sont au cœur de nos recherches. Aujourd’hui, nous sommes ravis de partager ce qui rend la maca (Lepidium meyenii) si fascinante et exigeante à étudier et à cultiver.

La maca est une plante résiliente, originaire des hautes plaines andines du Pérou.

Hypocotyle du Maca
Hypocotyle du Maca

Dans ces environnements extrêmes — marqués par une forte intensité des UV, des températures froides et un air raréfié — les plantes développent des stratégies chimiques sophistiquées pour s’adapter à leur milieu.

La maca produit des macamides, une classe de composés azotés uniques à cette espèce.
Ces molécules antioxydantes aident la plante à se protéger de l’intense rayonnement solaire.

Un aspect particulièrement intéressant de la maca est son hypocotyle — l’organe épaissi situé entre la racine et les cotylédons — qui agit comme réservoir de nutriments et constitue la principale source de macamides.

Maca, Lepidium meyenii
Maca, Lepidium meyenii

Au-delà de leur rôle protecteur chez la plante, les macamides présentent un fort potentiel pour la santé humaine :

  • Effets anti-fatigue et soutien métabolique
  • Effets anti-inflammatoires et analgésiques
  • Activité neuroprotectrice
  • Propriétés antitumorales potentielles (notamment le macamide B)

Ces propriétés rendent la maca et ses macamides particulièrement intéressantes pour les applications nutraceutiques, cosmétiques et de bien-être.

La culture de la maca représentait un double défi pour Orius :

  • Un défi technique, visant à favoriser le développement de l’hypocotyle
  • Un défi biologique, pour augmenter le contenu en macamides

Grâce à des recherches approfondies, nous avons réussi à obtenir une concentration en macamides 7,5 fois supérieure aux niveaux les plus élevés rapportés dans la littérature scientifique (Li et al., 2017)